Naaaannnnn, je n'ai pas succombé à la chaleur, ne vous inquiétez pas.
Je suis en manque d'inspiration, c'est tout ... Certes, j'aurais pu relire mes précédents billets et par exemple corriger les fautes dont ils étaient pétris, par exemple, j'aurais pu ...
Mais, je suis en mode feignasse, donc j'ai laissé tomber surtout que quand je mets un "s" à "1 minutes", c'est mon inconscient qui me trahit : le temps, même court devient trop long en Août.
Bref, on a les justifications de ses moyens (un peu comme dans les années 90, lorsqu'une collègue me racontait s'être fait rabrouée par une hôtesse d'accueil chez Dessanges, à qui elle avait demandé si une carte de fidélité existait et s'était entendue répondre " Non Mâdâme, chez Dessanges on a les moyens de son standing"). Cherche pas le lien j'avais trop envie de la placer.
Voilà, à part ça, nous retrouvons notre Number One demain soir, chez Papy et Mamie qui l'ont joyeusement accueilli pendant 5 jours. Une grande première dans la famille, car cet enfant (et tous ceux que je mets au monde) sont en sucre, je suis donc la seule à pouvoir m'en occuper (même s'il m'arrive, à force d'exapération ou d'épuisement, d'être obligée de sortir la boîte à claques ou ma grosse voix, ou encore de faire mon regard "zieux injectés de sang" pour montrer "qui c'est le chef " parce que je connais les limites de leur fragilité...).
A priori, le séjour se passe de manière agréable et les journées sont bien fournies en rigolades avec son petit cousin de 2 ans, ce qui me rassure.
Ceci étant, j'ai pensé ce matin à cette réplique que font souvent les parents de mon entourage à leurs enfants, afin que ceux-ci ne s'impatientent pas trop de l'absence de leur géniteur, parti à la guerre ou en déplacement professionnel : "t'inquiète pas, Papa revient dans 2 dodos" (ça marche aussi pour 10,12 et même "plusieur dodos" a priori, mais quand même, passé un certain délai, j'ai envie de dire aux mères, peut-être que papa va pas revenir et que Solange a fini par le convanincre, de rester, enfin, bref...).
Evidemment, cette expression n'avait pas lieu d'être chez nous parce que, jusqu'à présent, nous n'avions pas été séparés ("enfants en sucre" et
Entre nous, je ne sais plus qui est en sucre dans cette famille ...
Toujours si rigolotte*même en sucre...
RépondreSupprimerCoucou Nazca !
RépondreSupprimerTa résistance m'impressionne, je pensais que tu craquerais plus tôt dans le lâché de mouflets (mère indigne que tu es) !
RépondreSupprimerMais t'inquiète, les phrases bateau, tu les diras TOUTES, tu es programmée pour ça depuis ta naissance ;-)
genre celles que tu retrouves là : http://algrange.a.travers.le.temps.over-blog.com/article-ma-maman-m-a-appris-109509537.html
JP
P*t%a** !!! j'en reviens pas que c'est toi mon binôme de la boutade et de la poilade !Ben t'en auras mis du temps à trouver le trajet ... J'irais sur ton lien demain (au bureau) là il faut que j'aille dormir (21h30, je suis dans le rouge). Bisous mon gros canard.
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