Jacques Briochin...Rubrique Trucs et astuces.

 
Aujourd'hui Martine, j'ai envie de te proposer, puisque tu ne me le demandes pas, une nouvelle rubrique très originale de "trucs et astuces", quelque chose de nouveau et qui ne se propose jamais ailleurs. C'est la crise et c'est bientôt Noël, deux bonnes raisons d'être raisonnable et de dépenser U-TILE.

Donc, ce matin, j'ai testé un nouveau produit ménager et oui Martine, je t'épargne 2 années de CAP en école ménagère en t'en révélant les bienfaits presque sans limite. Il s'agit de "L'authentique vinaigre de ménage" de Jacques Briochin droguiste depuis ...1919, mais passons.

Je sais bien que le thème de la parfaite ménagère est total under glamour, mais j'assume mon profond respect pour les traditions (Sweety si tu me lis : je jure d'être une parfaite ménagère si tu me laisses rester à la maison, pendant que tu sues sang et eau au bureau). Je disais donc, Martine, qu'en découvrant ce produit je n'ai pas eu le cœur d'en garder le secret pour moi.

Nous nous sommes rencontrés, Jacques Birochin et moi même dans le rayon so "poupoupidou"des produits pour la beauté intérieure de mon Monoprix et je t'en parle parce que je pense que ce produit va enfin pouvoir remplacer ton viakal, tes détachants, ton liquide de rinçage pour le lave vaisselle, ton cif, ton produit à vitres, ton démêlant pour les cheveux , ta bombe lacrymogène (mais ça c'est que pour celles qui prennent le métro) bref à peu près tout ce qu'il y a dans ton armoire "produits d'entretien" et qui coûtait une barre en plus de te déclancher une crise d'asthme.

Petite mise en abyme de l'astuce dans l'astuce : j'ai remplacé le bouchon original par un bouchon vaporisateur qui s'adapte facilement.
Dernier conseil, Martine, ce produit est efficace, mais il est indispensable de l'utiliser en aérant la pièce dans laquelle tu l'utilises, surtout si tu le vaporises, dans une salle de bains par exemple, parce qu'il nettoie aussi violemment le nez, c'est son côté  CRS.
Voilà, tu peux enfin justifier, auprès de ton époux, de toutes ces heures que tu passes ma chère Martine, à trainer ta savate d'un blog à un autre, sans prendre de notes ...