(Billet non sponsorisé, tu m'étonnes Simone)
Tout le monde n'a pas la chance d'être contacté par de grandes marques pour tester des produits, notamment des produits de puériculture ou ayant un rapport avec les enfants (ce qui occupe pour l'essentiel, en ce moment et pour les 18 prochaines années, mon quotidien).
Hormis un jour, un Monsieur de chez Urgo, qui m'a très gentiment envoyé des pansements pour mes petits (suite à ce billet), jamais je n'ai eu les "faveurs" d'un fabriquant, ce qui me permet de m'exprimer librement ...
Justement, aujourd'hui, j'avais envie de m'exprimer "librement ", au sujet du modèle de baignoire Bato - Hoppop dont nous avons fait l'acquisition peu de temps avant l'arrivée de Couiny.
Nous avons acheté cette baignoire parce que son design correspondait à l'image moderne que nous avions de nous mêmes (quoi ?). Séduits par son design, nous n'avons pas pris le temps de tester son utilisation.
Aujourd'hui, elle me fait amèrement regretter de ne pas avoir de troisième bras.
Un troisième bras ou un crochet, peu importe.
Pour libérer l’engin de son trépied, il faut dé-clipser simultanément les deux côtés de la baignoire. Or quand on a libéré un côté, on se bat pour libérer l'autre, on secoue dans tous les sens, on va chercher un euphytose, finalement on se remet à fumer et on fini par l'emporter (mais on sent la sueur).
Alors quoi les mecs ? à quoi vous avez pensé en concevant ce système de merde ?
Nan parce que je peux vous mettre sur une piste, celle du système Bébé Confort... que j'ai longtemps expérimenté (et qui désormais coule des jours paisibles dans notre verdoyante campagne) et qui vraiment est hyper simple d'utilisation, avec deux mains, seulement ...
Voilà, c'était mon billet conso de novembre ... Pas sûre qu'une grande marque fasse appel à moi après ça, mais enfin, rien ne vaut la liberté d'expression, hein. Sans déconner, les gars, faut penser à donner le bain de temps en temps et aider votre femme à ranger la baignoire pour mieux vous rendre compte...
vendredi 29 novembre 2013
jeudi 28 novembre 2013
Les boules ...
Hier soir en rentrant à la maison avec Fouiny, Chouiny et Couiny j'ai été confrontée à une terrible question, celle à laquelle tout parent finit un jour par avoir droit, la question de l'existence du Père Noël...
Enfin, question, pas vraiment une question ... Fouiny (tout juste 6 ans) qui pourtant semblait avoir passé une agréable journée au centre de "loisirs" (tennis comme il aime le matin, "stade" comme il aime l'après-midi), n'avait pas l'air content quand il m'a balancé sur le trajet : "le Père Noel n'existe pas, je sais que c'est les parents qui achètent les cadeaux !".
Comme nous étions en présence de Chouiny, sa jeune sœur de 3 ans et demi, je lui ai demandé pourquoi il disait "un truc pareil" pour finalement très vite lui demander de se taire, arguant qu'on en reparlerait plus tard.
Mais l'animal n'est pas patient et il avait quand même "envie de me dire". Je suis parvenue à l'isoler pour lui demander d'où il tenait cette information à laquelle j'avais moi même du mal à croire et il a fini par lâcher le morceau, c'était son "copain" Téo qui le lui avait dit (Téo, si tu me lis, évite moi, car contrairement au Père Noël, j'existe et on m'appelle la Teigne).
Bref, j'ai eu du mal à savoir quel chemin prendre pour lui répondre, j'étais limitée dans le temps et nous manquions d'intimité pour le faire, je ne voulais pas qu'il en parle devant sa soeur. Du coup, pour gagner du temps, j'ai fait "comme ils disent" aux Maternelles, j'ai posé la question "et toi qu'est ce que tu en penses ?" mais il s'en foutait de la question des Maternelles, il m'a demandé "la vérité". Et là j'ai dû la lui dire, rapidement, sans trop y avoir réflêchi, donc sans détours, comme ça juste avant qu'il ne s'endorme.
J'avais les boules.
Il était déçu. Et moi j'avais envie d'écraser Téo comme une blatte.
J'ai fini par lui dire rapidement que oui les parents offraient les cadeaux de Noël. Il avait d'autres questions mais j'ai décidé de couper court, il fallait se coucher et j'avais moi même besoin de mieux préparer mes réponses.
Ce matin il m'a demandé "pourquoi si c'est les parents qui achètent les jouets j'ai pas toujours ce que je demande ?". Les boules je te dis.
Et dire que nous avions préparé la liste au Père Noël dimanche dernier et nous prévoyions d'aller voir les jolies vitrines, histoire de préparer la magie de Noël...
Et vous, jusqu'à quel âge vos enfants on cru au Père Noël ? comment ont-ils découvert qu'il n'existait pas ? Comment avez-vous réagi ? J'attends vos réponses (du coup j'ai commandé moi-même sur Amazon tous les cadeaux de ma wish list ... je vous en parle à l'occasion d'un prochain billet)
Enfin, question, pas vraiment une question ... Fouiny (tout juste 6 ans) qui pourtant semblait avoir passé une agréable journée au centre de "loisirs" (tennis comme il aime le matin, "stade" comme il aime l'après-midi), n'avait pas l'air content quand il m'a balancé sur le trajet : "le Père Noel n'existe pas, je sais que c'est les parents qui achètent les cadeaux !".
Comme nous étions en présence de Chouiny, sa jeune sœur de 3 ans et demi, je lui ai demandé pourquoi il disait "un truc pareil" pour finalement très vite lui demander de se taire, arguant qu'on en reparlerait plus tard.
Mais l'animal n'est pas patient et il avait quand même "envie de me dire". Je suis parvenue à l'isoler pour lui demander d'où il tenait cette information à laquelle j'avais moi même du mal à croire et il a fini par lâcher le morceau, c'était son "copain" Téo qui le lui avait dit (Téo, si tu me lis, évite moi, car contrairement au Père Noël, j'existe et on m'appelle la Teigne).
Bref, j'ai eu du mal à savoir quel chemin prendre pour lui répondre, j'étais limitée dans le temps et nous manquions d'intimité pour le faire, je ne voulais pas qu'il en parle devant sa soeur. Du coup, pour gagner du temps, j'ai fait "comme ils disent" aux Maternelles, j'ai posé la question "et toi qu'est ce que tu en penses ?" mais il s'en foutait de la question des Maternelles, il m'a demandé "la vérité". Et là j'ai dû la lui dire, rapidement, sans trop y avoir réflêchi, donc sans détours, comme ça juste avant qu'il ne s'endorme.
J'avais les boules.
Il était déçu. Et moi j'avais envie d'écraser Téo comme une blatte.
J'ai fini par lui dire rapidement que oui les parents offraient les cadeaux de Noël. Il avait d'autres questions mais j'ai décidé de couper court, il fallait se coucher et j'avais moi même besoin de mieux préparer mes réponses.
Ce matin il m'a demandé "pourquoi si c'est les parents qui achètent les jouets j'ai pas toujours ce que je demande ?". Les boules je te dis.
Et dire que nous avions préparé la liste au Père Noël dimanche dernier et nous prévoyions d'aller voir les jolies vitrines, histoire de préparer la magie de Noël...
Et vous, jusqu'à quel âge vos enfants on cru au Père Noël ? comment ont-ils découvert qu'il n'existait pas ? Comment avez-vous réagi ? J'attends vos réponses (du coup j'ai commandé moi-même sur Amazon tous les cadeaux de ma wish list ... je vous en parle à l'occasion d'un prochain billet)
mercredi 27 novembre 2013
Nouveautés !
Salut les Bibiches !
Un billet rapide pour attirer votre attention sur deux nouvelles rubriques (sur le bandeau de droite pour celles qui ne suivent pas ...) : "Les jolies choses", une rubrique dans laquelle vous retrouverez les liens de mes artisans/créateurs préférés (et pour certains, Boissonnet Design / Adada ou encore Carolina Evanno qui "accompagnent" depuis un moment les temps forts de ma vie) qui vous permettra de préparer votre wish list ... Du coup, on dit merci qui les Bibiches ?
Et pour les reines de l’imposture culinaire, qui comme moi aiment préparer avec peu de choses des plats qui marquent leurs hôtes (petits ou grands), une rubrique "A table !", sur le même principe que la précédente.
Alors ? c'est pas Noël avant l'heure ça ?
Un billet rapide pour attirer votre attention sur deux nouvelles rubriques (sur le bandeau de droite pour celles qui ne suivent pas ...) : "Les jolies choses", une rubrique dans laquelle vous retrouverez les liens de mes artisans/créateurs préférés (et pour certains, Boissonnet Design / Adada ou encore Carolina Evanno qui "accompagnent" depuis un moment les temps forts de ma vie) qui vous permettra de préparer votre wish list ... Du coup, on dit merci qui les Bibiches ?
Et pour les reines de l’imposture culinaire, qui comme moi aiment préparer avec peu de choses des plats qui marquent leurs hôtes (petits ou grands), une rubrique "A table !", sur le même principe que la précédente.
Alors ? c'est pas Noël avant l'heure ça ?
mardi 26 novembre 2013
Mélange des genres ...
Un clip très touchant et un duo vraiment très réussi ...
Cette vidéo relate plus ou moins l' histoire de JoeyStarr, enfant, une histoire découverte au fil de mes lectures compulsives il y a quelques années déjà (Mauvaise réputation) ... Le mélange des genres peut donner je trouve un très beau résultat.
lundi 25 novembre 2013
On se dit tout ... avec le BIBA de décembre
Ma Becky,
J'ai préparé pour toi un petit billet spécial "Biba de décembre" pour que tu n'aies pas comme unique sujet de conversation cette semaine à la machine à café, ce froid de gueux dont, de toute façon, tu pourras reparler d'ici Mars (quand tu n'auras plus rien d'autre à dire).
Tu pourras donc aborder cette semaine le thème de l' homme. En effet, dans ce numéro de décembre se trouvent toutes les clés "pour les comprendre (et les aimer)". Enfin !
Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, mais tu pourras apprendre à tes collègues que finalement faire la bise à Étienne est peut-être moins risqué que de lui serrer la main...
Que malgré ce genre de négligence impardonnable, les hommes trouvent encore le moyen de nous trouver, à nous, les femmes, des trucs "rédhibitoires". Ainsi Laurent (30 ans célibataire) nous dit : "je pourrais citer les odeurs et les épilations douteuses. Mais, ça, ça peut s'arranger (je pense qu'il veut parler d'une épilation intégrale "pour tout arranger"). Par contre, une fille qui parle en "verlan", qui sort des "wesh" à tout va ou qui est à la limite de la vulgarité ... ça craint ! "
Laurent, j'ai une question : tu sors où pour dénicher des trucs pareils ? Nan mais allô, quoi ?
Paul, lui, (34 ans en couple) semble confondre une femme et une bagnole, Mathieu (27 ans célibataire) étale des références qu'il dit être les nôtres : "Hollywood", la mode hollywoodienne.
Un peu plus loin Becky, en page 78, tu sauras tout sur ce qui va plaire à ton homme ... Personnellement, la seule chose qui est susceptible de plaire à mon Sweety est plutôt sur la page d'après ...
Un ensemble Wonderbra...
Pour te réconcilier avec le genre humain, ma chère Becky, une page spéciale "Là j'ai été ridicule" t'aidera à aborder des sujets plus "personnels", tout comme le fait Chloé qui tombe le masque et nous avoue un grand moment de solitude.
Biba, au détour d'une question que je trouve un peu vicieuse, t'invite également ce mois-ci à te poser cette question : "un chat c'est mieux qu'un mec ?". Si tu prépares un peu le sujet à la maison, tu pourras lancer le débat autour de la machine à café (on a tous un collègue qui a un avis sur tout, tout le temps, c'est le moment de vérifier).
Pour t'aider à animer le débat, tu peux relire "la preuve par 12".
Et comme Biba n'a pas peur de tout mélanger dans son numéro de décembre, quitte à déclencher chez toi une crise d'épilepsie, il te proposera juste après, un test, pour savoir si ton homme peut encore "te surprendre".
ou s'il est bon pour ton couple de voir encore ton ex ...
ou finalement, le meilleur endroit et moyen pour dégoter "le mec bien" ...Bref autant de thèmes en pèle mêle pour remplir tous les temps morts de la semaine.
Biba, c'est aussi des recettes de cuisine ou comment "préparer une bonne viande" pour toute la famille ou plutôt comme ils disent en encart " Envie de bidoche, oui, mais pas n'importe laquelle". C'est subtil et puis là encore, au bureau, il y a toujours une collègue un peu traditionnelle qui sait cuisiner et que tu pourras impressionner, en parlant "bidoche"...
Tu pourras également aborder avec une collègue de retour de congé mat, la question de la rééducation du périnée, et lui soumettre l'utilisation ... de boules de geisha. Ça se place facilement dans la conversation (évite cependant un membre des RH).
Voilà et puis, si avec tout ça tu n'as rien trouvé à dire cette semaine à tes collègues ou à ton époux, il te reste cette sympathique illustration en fin de magazine qui franchement est plutôt marrante (1,90 euros, pour tout ça, ça les vaut largement. Biba si tu me lis, n'hésite pas à m'offrir un abonnement).
Sur ce bonne semaine, il va faire froid...
J'ai préparé pour toi un petit billet spécial "Biba de décembre" pour que tu n'aies pas comme unique sujet de conversation cette semaine à la machine à café, ce froid de gueux dont, de toute façon, tu pourras reparler d'ici Mars (quand tu n'auras plus rien d'autre à dire).
Tu pourras donc aborder cette semaine le thème de l' homme. En effet, dans ce numéro de décembre se trouvent toutes les clés "pour les comprendre (et les aimer)". Enfin !
Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, mais tu pourras apprendre à tes collègues que finalement faire la bise à Étienne est peut-être moins risqué que de lui serrer la main...
Que malgré ce genre de négligence impardonnable, les hommes trouvent encore le moyen de nous trouver, à nous, les femmes, des trucs "rédhibitoires". Ainsi Laurent (30 ans célibataire) nous dit : "je pourrais citer les odeurs et les épilations douteuses. Mais, ça, ça peut s'arranger (je pense qu'il veut parler d'une épilation intégrale "pour tout arranger"). Par contre, une fille qui parle en "verlan", qui sort des "wesh" à tout va ou qui est à la limite de la vulgarité ... ça craint ! "
Laurent, j'ai une question : tu sors où pour dénicher des trucs pareils ? Nan mais allô, quoi ?
Paul, lui, (34 ans en couple) semble confondre une femme et une bagnole, Mathieu (27 ans célibataire) étale des références qu'il dit être les nôtres : "Hollywood", la mode hollywoodienne.
Un peu plus loin Becky, en page 78, tu sauras tout sur ce qui va plaire à ton homme ... Personnellement, la seule chose qui est susceptible de plaire à mon Sweety est plutôt sur la page d'après ...
Un ensemble Wonderbra...
Pour te réconcilier avec le genre humain, ma chère Becky, une page spéciale "Là j'ai été ridicule" t'aidera à aborder des sujets plus "personnels", tout comme le fait Chloé qui tombe le masque et nous avoue un grand moment de solitude.
Biba, au détour d'une question que je trouve un peu vicieuse, t'invite également ce mois-ci à te poser cette question : "un chat c'est mieux qu'un mec ?". Si tu prépares un peu le sujet à la maison, tu pourras lancer le débat autour de la machine à café (on a tous un collègue qui a un avis sur tout, tout le temps, c'est le moment de vérifier).
Pour t'aider à animer le débat, tu peux relire "la preuve par 12".
Et comme Biba n'a pas peur de tout mélanger dans son numéro de décembre, quitte à déclencher chez toi une crise d'épilepsie, il te proposera juste après, un test, pour savoir si ton homme peut encore "te surprendre".
ou s'il est bon pour ton couple de voir encore ton ex ...
ou finalement, le meilleur endroit et moyen pour dégoter "le mec bien" ...Bref autant de thèmes en pèle mêle pour remplir tous les temps morts de la semaine.
Biba, c'est aussi des recettes de cuisine ou comment "préparer une bonne viande" pour toute la famille ou plutôt comme ils disent en encart " Envie de bidoche, oui, mais pas n'importe laquelle". C'est subtil et puis là encore, au bureau, il y a toujours une collègue un peu traditionnelle qui sait cuisiner et que tu pourras impressionner, en parlant "bidoche"...
Tu pourras également aborder avec une collègue de retour de congé mat, la question de la rééducation du périnée, et lui soumettre l'utilisation ... de boules de geisha. Ça se place facilement dans la conversation (évite cependant un membre des RH).
Voilà et puis, si avec tout ça tu n'as rien trouvé à dire cette semaine à tes collègues ou à ton époux, il te reste cette sympathique illustration en fin de magazine qui franchement est plutôt marrante (1,90 euros, pour tout ça, ça les vaut largement. Biba si tu me lis, n'hésite pas à m'offrir un abonnement).
Sur ce bonne semaine, il va faire froid...
dimanche 24 novembre 2013
1 mois ...
Joyeux anniversaire ma Couiny d'Octobre !
Pas de doute, tu fais l'unanimité au sein de notre petite famille. Ta soeur et ton frère t'aiment et veulent t'avoir sur leurs genoux, viennent t'embrasser délicatement. Papa, lui, doit rêver que tu fasses déjà tes nuits et moi je savoure ...
Nos petites journées s’égrainent avec plus ou moins de rythme et plus ou moins de calme, nous réfléchissons avec papa aux jolis cadeaux que le Père Noël t'apportera pour la première fois ... Quelle joie immense de t'avoir avec nous !
Pas de doute, tu fais l'unanimité au sein de notre petite famille. Ta soeur et ton frère t'aiment et veulent t'avoir sur leurs genoux, viennent t'embrasser délicatement. Papa, lui, doit rêver que tu fasses déjà tes nuits et moi je savoure ...
Nos petites journées s’égrainent avec plus ou moins de rythme et plus ou moins de calme, nous réfléchissons avec papa aux jolis cadeaux que le Père Noël t'apportera pour la première fois ... Quelle joie immense de t'avoir avec nous !
samedi 23 novembre 2013
Tag "Premio Corazon"
J'ai récemment été taguée par Cécile, elle même taguée par Marie grain de sel. Malgré la fatigue je vais tenter de répondre, partiellement du moins, à ce tag. * Malheureusement je n'aurai pas le courage de re-taguer 3 blogs ni même de re-taguer Cécile qui je pense aura déjà largement rempli sa part du marché initial et encore moins l'inspiration de trouver des questions à poser à mon tour, quant à mentir en répondant : c'est contre ma nature, ne sois pas fâchée Marie grain de sel !
Pour la bonne forme, voici donc les règles de ce tag :
3 choses sur elle :
J'ai de beaux chaussons graou
J'ai horreur des rendez-vous
Je n'aime pas trop aller chez le coiffeur
3 choses sur quelqu’un d’autre
Sweety déteste m'entendre tapoter sur ce clavier, sauf si c'est pour faire les courses en ligne.Fouiny est un ange avec parfois des pieds de boucs ...
Chouiny croit chaque jour qu'à l'école elle va danser, sinon elle n'a pas envie d'y aller.
1 déclaration d’amour.
Couiny mon Trésor je t'aime de la terre jusqu'à la lune, aller-retour (idem pour Sweety, Chouiny et Fouiny).
Répondre, par des mensonges, aux questions que la personne qui l’a taguée a posté. Moi j’ai ajouté la règle du joker pour 1 réponse. *
Créer 3 questions cons, 3 questions romantiques, et 1 question joker : destinées aux personnes qui vont être ensuite taguées *
Choisir au pif 3 blogs de plus de 1000 abonnés et mettre un lien vers leur blog dans votre post *
Les en informer sur leur page ou dans leur blog *
Re-taguer la personne qui l’a taguée avec tout ça *
* voir ci-dessus ...
Et voici mes réponses pour Cécile et celles qui passent par là ...
1.Peux-tu, oses-tu nous charger la photo de tes pompes les plus confortables?
(Montre nous tes chaussures, et nous saurons qui tu es, dicton connu, non?)
Je suis actuellement en mode chaussons ... Isotoner graou et sinon comme chacune j'ai ressorti mes "petites bottines" ...
2. Quel est ton 2ème prénom? c’est celui de qui?
Margueritte, prénom de mon arrière grand mère.
3.Ton avis sur la Réforme des rythmes scolaires?
Pour l'instant nous en discutons beaucoup avec la mairie et j'essaie de croire que cela a quelque chose de bon et que j'apporte "ma pierre à l'édifice", dans la mesure où nous sommes sollicités en tant que parents pour réfléchir à une mise en place optimum...
Jeudi dernier, aux portes de l'école de Fouiny ...
4. Si tu étais un poème/une chanson d’amour, ça serait lequel/laquelle ? (question incontournable)
On se retrouvera (j'ai entendu cette chanson dans le taxi cet aprèm, je me suis dis qu'il fallait que je mette cette chanson dans ce tag...)
5. Le lieu où tu aimerais te trouver pour faire une jolie déclaration
A mon avis il n'y a pas de lieu idéal, l'idéal pour moi serait d'être l'objet de cette déclaration ...
A mon avis il n'y a pas de lieu idéal, l'idéal pour moi serait d'être l'objet de cette déclaration ...
6.La plus belle surprise que tu as organisée?
Oulàlà : je suis nulle en surprise, je déteste en organiser et cela est pour moi une vraie source de stress, désolée !
Oulàlà : je suis nulle en surprise, je déteste en organiser et cela est pour moi une vraie source de stress, désolée !
Question Joker: la dernière photo dans ton smartphone, c’est quoi?
Une photo de mon Fouiny avec sa Couiny dans les bras, un moment rare si on a lu mon dernier article sur ce sujet ...
Voilà ma maigre contribution, autant dire que tu n'apprends rien et que l'essentiel "est ailleurs", enfin sans doute ... Mais surtout, cela m'aura permis de connaître le blog de Marie grain de sel et j'ai l'impression qu'il va me plaire ... Sweety va me maudire !!Une photo de mon Fouiny avec sa Couiny dans les bras, un moment rare si on a lu mon dernier article sur ce sujet ...
vendredi 22 novembre 2013
Clichés ...
des derniers jours ...
L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ... Il y en a à la maison qui ont de l'avenir !
"Dernière sortie" avant que Sweety ne reprenne le travail, nous avons emmené notre "grand" déjeuner un très bon hamburger au restaurant ...
Souvenir d'une virée à la campagne ces derniers jours, d'où nous avons eu la chance de ramener de délicieux légumes du jardin (merci papy Coco !).
J'ai fêté mes 39 ans ! (délicieux gâteau aux marrons de notre MOF de quartier ... il ne reste plus que le beaujolais nouveau à fêter, dernier obstacle avant de me mettre vraiment au régime ...)
Chez nous les enfants ont décidé qu'ils avaient peur du loup, qui pourtant n'est pas présent en banlieue ouest parisienne, mais bon ...
Le soir au couché, nous assistons donc à des dialogues du type : "Fouiny, prête moi ton cornichon ", "c'est pas un cornichon c'est un CHAM-PI-GNOOOON !" "Fouiny prête moi ton champignon" "Noooooonnnn !". "Mamaaaannnn, tu peux allumer la cuisine, il éclaire pas assez mon cornichon !".
Au secours !!!!!
Suite à un judicieux commentaire de l'une de vous (les deuxmoiselles) j'ai mis un coup de boost pour arranger le petit coin de Couiny et revoir du même coup celui de Fouiny et Chouiny ! Voilà chacun a ses petits repères, il ne reste plus qu'à chasser le loup de la chambre !
Bonne journée !
L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ... Il y en a à la maison qui ont de l'avenir !
"Dernière sortie" avant que Sweety ne reprenne le travail, nous avons emmené notre "grand" déjeuner un très bon hamburger au restaurant ...
Souvenir d'une virée à la campagne ces derniers jours, d'où nous avons eu la chance de ramener de délicieux légumes du jardin (merci papy Coco !).
J'ai fêté mes 39 ans ! (délicieux gâteau aux marrons de notre MOF de quartier ... il ne reste plus que le beaujolais nouveau à fêter, dernier obstacle avant de me mettre vraiment au régime ...)
Chez nous les enfants ont décidé qu'ils avaient peur du loup, qui pourtant n'est pas présent en banlieue ouest parisienne, mais bon ...
Le soir au couché, nous assistons donc à des dialogues du type : "Fouiny, prête moi ton cornichon ", "c'est pas un cornichon c'est un CHAM-PI-GNOOOON !" "Fouiny prête moi ton champignon" "Noooooonnnn !". "Mamaaaannnn, tu peux allumer la cuisine, il éclaire pas assez mon cornichon !".
Au secours !!!!!
Suite à un judicieux commentaire de l'une de vous (les deuxmoiselles) j'ai mis un coup de boost pour arranger le petit coin de Couiny et revoir du même coup celui de Fouiny et Chouiny ! Voilà chacun a ses petits repères, il ne reste plus qu'à chasser le loup de la chambre !
Bonne journée !
mercredi 20 novembre 2013
A tour de bras ...
En lisant récemment un très bel article sur l'amitié et les retrouvailles sur le blog de Caroline, je me suis arrêtée sur ce commentaire d'Herminia et je me suis reconnue, dans ces jeunes parents qu'elle décrivait et dont elle ne semblait pas comprendre l'attitude ...
J'ai donc eu envie de rédiger un billet sur ce sujet en me disant que peut être, des mères, en passe de devenir des mamies, mais aussi des "belles mamans", des frères, des soeurs, des beaux frères et des belles soeurs, pourraient être amenés à me lire et pourraient trouver ici matières à revoir leur position.
Lorsque nous avons eu notre premier enfant avec Sweety, avant même qu'il ne naisse, je n'ai pas apprécié que certains se croient autorisé à me toucher le ventre, au prétexte qu'il était proéminent ...
Plus tard, quand notre fils est né, je n'ai pas souhaité recevoir de visites à la clinique. Un souhait "respecté" par nos deux familles qui habitaient de toute façon à plus de 2 heures de route de la région parisienne.
Mes parents ne sont venus chez moi que quelques semaines après que nous avons pris nos marques à la maison, en ayant soin de nous demander si cela nous ferait plaisir et en suggérant de pouvoir remettre cela à plus tard si nous étions trop fatigués. A aucun moment ils n'ont fait pression en laissant entendre que "quand même ils auraient bien aimé venir à la clinique voir leur petit fils".
Ma belle famille, n'ayant pu et voulu se déplacer par la suite a dû attendre que nous venions lui rendre visite pour faire la connaissance du petit.
Pendant toute cette période, lors de laquelle Sweety et moi même devenions parents, fébriles et très tâtonnants, les moments de doute et de stress ont été fréquents. Très vite, avant même l'arrivée de Fouiny, je savais que je ne pourrais laisser personne prendre mon enfant dans ses bras, qu'il ait fait le tour de la terre pour venir le voir, ou qu'il ait dû attendre un mois ou deux avant de faire sa connaissance.
Bien sûr, ce refus de laisser mon petit passer de bras en bras a engendré de la frustration chez certains, de l'incompréhension même et des mots parfois plutôt inappropriés; très vite je suis passée du statut de "belle fille" sans histoire à celui de "brue" antipathique, voire à côté de la plaque.
Mes belles sœurs ayant eu des enfants avant moi et n'ayant pas eu ce comportement avec leur propres parents, mes beaux parents n'ont pas compris que je sois à ce point récalcitrante au fait de leur laisser prendre mon petit dans leurs bras. Je ne voulais pas partager cet enfant, je ne voulais pas qu'on vienne le prendre tandis qu'il dormait paisiblement, je ne voulais pas qu'ils croient qu'il était aussi un peu à eux puisque de la même famille.
Étrangement, alors que nous ne suscitions jamais de commentaires particuliers sur l'absence évidente de nos visites quand nous n'étions pas encore parents, notre belle famille a commencé à laisser entendre, surtout par les autres, qu'elle ne trouvait pas normal que nous ne venions pas plus souvent les voir depuis que nous avions notre enfant. Ensuite, j'ai eu l'impression que l'on "comptait" les visites faites aux uns au détriment des autres ... Outre le fait que cela pouvait parfois engendrer quelques mots entre Sweety et moi même (nous finissions par tenir les comptes de visites sur un calendrier !), nous nous sentions obligés de programmer lors de chacun de nos déplacements en province des heures de visites chez l'un ou l'autre, par pur formalisme !
Étant très proches de mes propres parents, nous dormions chez eux et passions de fait un peu plus de temps avec eux ... Ce qui me semble finalement assez naturel : une fille qui vient d'être mère, sera certainement plus à son aise chez ses parents, surtout si elle doit être hébergée.
Car cette maison elle la connait bien, elle pourra y évoluer sans avoir à demander où se trouve ceci ou cela ou encore si elle peut se servir de ceci ou cela ... et finalement elle se sentira rassurée d'être entourée par les siens, des parents qui ne porteront pas de jugement et auront l'intelligence de se rappeler qu'eux mêmes en d'autres temps ont eu leur "petits principes" de jeunes parents.
Si j'avais à discuter avec Herminia sur le sujet de la "grand parentalité" côté belle famille, puisque c'est ainsi qu'elle se positionne, le conseil que je lui donnerais serait d'être patiente, en retrait et de prendre sur elle, le temps que son fils et sa belle fille trouvent un premier équilibre au sein de LEUR famille, celle qu'ils sont en train de construire à leur tour.
Un enfant est un lien incroyable, il est d'après moi le "ET" de beaucoup de nos relations avec les autres, mais il peut aussi devenir la source de sentiments ambigus au titre desquels bien des fantasmes seront nourris. "Belle maman" s'imaginant bien souvent que tout ce qui trouble sa relation avec son fils et ses petits enfants vient des lubies de sa belle fille... C'est un cliché mais bien souvent les fils n'arrangent rien en ne voulant pas se prononcer eux mêmes ou pire, en étant eux mêmes à l'origine de bien des malentendus et quiproquo.
Plus l'environnement familial se fait pressant lorsqu'il y a une naissance, plus il se réclame d'une certaine légitimité, plus il met en péril ce lien qui s'établit naturellement lorsque qu'aucune pression n'est exercée.
J'ai toujours plaisir à présenter à ma famille mes enfants lorsqu'ils naissent, mais j'avoue ne pas avoir changer d'avis sur certains points : un nourrisson ne se passe pas de bras en bras, les visites faites à la maman pour "voir " le petit dès le premier jour, peuvent attendre le retour de la maman à la maison. Je crois que je n'ai rien vu de pire que lors de mon dernier séjour en clinique justement, lors duquel une jeune maman (d'un deuxième enfant) recevait toute la journée un nombre incroyable de visites et même jusqu'au soir 23h celle de son mari et de son premier enfant et dont le dernier né hurlait le soir (je pèse mes mots) au point où elle n'était plus elle même en mesure de s'en occuper ...Une jeune maman est épuisée, au mieux elle sera heureuse de recevoir un peu d'aide logistique, au pire elle campera sur ses positions si elle se sent sans cesse jugée.
Ceux qui me connaissent savent que j'ai un tempérament assez vif et que je suis comme une louve avec mes petits. C'est ainsi. Ce sont autant de sujets de franche rigolade avec certaines copines qui font parties du même club ...
Et vous ? Comment avez vous vécu "les présentations" et les moments en famille avec votre nouveau né ?
J'ai donc eu envie de rédiger un billet sur ce sujet en me disant que peut être, des mères, en passe de devenir des mamies, mais aussi des "belles mamans", des frères, des soeurs, des beaux frères et des belles soeurs, pourraient être amenés à me lire et pourraient trouver ici matières à revoir leur position.
Lorsque nous avons eu notre premier enfant avec Sweety, avant même qu'il ne naisse, je n'ai pas apprécié que certains se croient autorisé à me toucher le ventre, au prétexte qu'il était proéminent ...
Plus tard, quand notre fils est né, je n'ai pas souhaité recevoir de visites à la clinique. Un souhait "respecté" par nos deux familles qui habitaient de toute façon à plus de 2 heures de route de la région parisienne.
Mes parents ne sont venus chez moi que quelques semaines après que nous avons pris nos marques à la maison, en ayant soin de nous demander si cela nous ferait plaisir et en suggérant de pouvoir remettre cela à plus tard si nous étions trop fatigués. A aucun moment ils n'ont fait pression en laissant entendre que "quand même ils auraient bien aimé venir à la clinique voir leur petit fils".
Ma belle famille, n'ayant pu et voulu se déplacer par la suite a dû attendre que nous venions lui rendre visite pour faire la connaissance du petit.
Pendant toute cette période, lors de laquelle Sweety et moi même devenions parents, fébriles et très tâtonnants, les moments de doute et de stress ont été fréquents. Très vite, avant même l'arrivée de Fouiny, je savais que je ne pourrais laisser personne prendre mon enfant dans ses bras, qu'il ait fait le tour de la terre pour venir le voir, ou qu'il ait dû attendre un mois ou deux avant de faire sa connaissance.
Bien sûr, ce refus de laisser mon petit passer de bras en bras a engendré de la frustration chez certains, de l'incompréhension même et des mots parfois plutôt inappropriés; très vite je suis passée du statut de "belle fille" sans histoire à celui de "brue" antipathique, voire à côté de la plaque.
Mes belles sœurs ayant eu des enfants avant moi et n'ayant pas eu ce comportement avec leur propres parents, mes beaux parents n'ont pas compris que je sois à ce point récalcitrante au fait de leur laisser prendre mon petit dans leurs bras. Je ne voulais pas partager cet enfant, je ne voulais pas qu'on vienne le prendre tandis qu'il dormait paisiblement, je ne voulais pas qu'ils croient qu'il était aussi un peu à eux puisque de la même famille.
Étrangement, alors que nous ne suscitions jamais de commentaires particuliers sur l'absence évidente de nos visites quand nous n'étions pas encore parents, notre belle famille a commencé à laisser entendre, surtout par les autres, qu'elle ne trouvait pas normal que nous ne venions pas plus souvent les voir depuis que nous avions notre enfant. Ensuite, j'ai eu l'impression que l'on "comptait" les visites faites aux uns au détriment des autres ... Outre le fait que cela pouvait parfois engendrer quelques mots entre Sweety et moi même (nous finissions par tenir les comptes de visites sur un calendrier !), nous nous sentions obligés de programmer lors de chacun de nos déplacements en province des heures de visites chez l'un ou l'autre, par pur formalisme !
Étant très proches de mes propres parents, nous dormions chez eux et passions de fait un peu plus de temps avec eux ... Ce qui me semble finalement assez naturel : une fille qui vient d'être mère, sera certainement plus à son aise chez ses parents, surtout si elle doit être hébergée.
Car cette maison elle la connait bien, elle pourra y évoluer sans avoir à demander où se trouve ceci ou cela ou encore si elle peut se servir de ceci ou cela ... et finalement elle se sentira rassurée d'être entourée par les siens, des parents qui ne porteront pas de jugement et auront l'intelligence de se rappeler qu'eux mêmes en d'autres temps ont eu leur "petits principes" de jeunes parents.
Si j'avais à discuter avec Herminia sur le sujet de la "grand parentalité" côté belle famille, puisque c'est ainsi qu'elle se positionne, le conseil que je lui donnerais serait d'être patiente, en retrait et de prendre sur elle, le temps que son fils et sa belle fille trouvent un premier équilibre au sein de LEUR famille, celle qu'ils sont en train de construire à leur tour.
Un enfant est un lien incroyable, il est d'après moi le "ET" de beaucoup de nos relations avec les autres, mais il peut aussi devenir la source de sentiments ambigus au titre desquels bien des fantasmes seront nourris. "Belle maman" s'imaginant bien souvent que tout ce qui trouble sa relation avec son fils et ses petits enfants vient des lubies de sa belle fille... C'est un cliché mais bien souvent les fils n'arrangent rien en ne voulant pas se prononcer eux mêmes ou pire, en étant eux mêmes à l'origine de bien des malentendus et quiproquo.
Plus l'environnement familial se fait pressant lorsqu'il y a une naissance, plus il se réclame d'une certaine légitimité, plus il met en péril ce lien qui s'établit naturellement lorsque qu'aucune pression n'est exercée.
J'ai toujours plaisir à présenter à ma famille mes enfants lorsqu'ils naissent, mais j'avoue ne pas avoir changer d'avis sur certains points : un nourrisson ne se passe pas de bras en bras, les visites faites à la maman pour "voir " le petit dès le premier jour, peuvent attendre le retour de la maman à la maison. Je crois que je n'ai rien vu de pire que lors de mon dernier séjour en clinique justement, lors duquel une jeune maman (d'un deuxième enfant) recevait toute la journée un nombre incroyable de visites et même jusqu'au soir 23h celle de son mari et de son premier enfant et dont le dernier né hurlait le soir (je pèse mes mots) au point où elle n'était plus elle même en mesure de s'en occuper ...Une jeune maman est épuisée, au mieux elle sera heureuse de recevoir un peu d'aide logistique, au pire elle campera sur ses positions si elle se sent sans cesse jugée.
Ceux qui me connaissent savent que j'ai un tempérament assez vif et que je suis comme une louve avec mes petits. C'est ainsi. Ce sont autant de sujets de franche rigolade avec certaines copines qui font parties du même club ...
Et vous ? Comment avez vous vécu "les présentations" et les moments en famille avec votre nouveau né ?
mercredi 13 novembre 2013
Portrait ...
Tu l'auras bien mérité ma p'tite chatte, ce billet qui lève le voile sur cette étoile si fraîchement née ...
Tu auras par ailleurs noté que le billet sur le 3ème enfant n'aborde pas les points essentiels sur lesquels tu pouvais t'interroger : un 3ème ça va changer quoi ?
Ben c'est surtout pour ton mari que ça va changer : une nouvelle bagnole c'est pas rien pour un homme. Ouais tu vois ma p'tite chatte, c'est pas plus compliqué que ça.
Évidemment, le poids des ans peut accentuer certains creux, le matin, sauf si l'on fait confiance aux graisses accumulées justement sous le poids des ans. Graisses qui auront un effet tenseur, dans le meilleur des cas, (à ce stade je me demande combien de fois les frères Bogdanov sont tombés enceinte), je ne te parle du pire des cas, inutile de t'effrayer mon p'tit chat, personnellement, j'envisage de commander une gaine sur la Redoute (pour canaliser les zones où la tension est sous le coup de force centrifuge).
Bon, donc, pour le 3ème, retiens "une" chose : tu es mieux organisée, tu relativises 3 fois plus, tu lâches un peu ta centrale vapeur, (pour repasser tout ou presque "à la main"), tu étends "sur cintre" et tu te couches ou recouches quand ton Couiny dort, c'est indispensable. Tu ne découpes plus ton coton carré, tu arraches des morceaux avec tes dents, pour nettoyer les yeux de ton Couiny.
Enfin, nous abordons LE sujet de ce billet, tu as SURTOUT TOUT prévu pour LE faire-part...
Je veux dire, fini de préparer un truc en papier mâché, réalisé de tes propres mains, sur lequel tu pleures d'émotion au point où tu ne sais plus si c'est un problème hormonal ou de la fierté mal placée, fini de rédiger des textes qui disent "la beauté de ton amour qui donne un SI beau bébé" et qui surtout gonflaient ta belle-mère, qui finissait de se convaincre que t'étais quand même une sacrée prétentieuse (elle qui n'a pas de cœur)...
Cette fois-ci, tu fais appel à un photographe professionnel, dès ta grossesse ...
Comme tu le sais, grâce à ce billet publié il y a quelque temps ici même, nous avons la chance Sweety et moi même de connaître Carolina Evanno, une photographe exceptionnelle, d'une sensibilité incroyable et d'une très grande délicatesse.
Carolina est comme le médecin de famille, quand tu as trouvé le bon. Elle est notre photographe de famille, pour les grands moments, les anniversaires, les jolies surprises.
Voici donc, sous tes applaudissement ma p'tite chatte, les très beaux clichés qu'elle a réalisé de notre Couiny, qui seront plus qu'un faire part, un véritable cadeau pour nos proches et un album souvenir pour Couiny que nous aurons toujours un immense plaisir à feuilleter...
(Attention je rappelle que ces clichés ne sont pas libres de droits).
Surtout, n'hésite pas à la contacter si toi aussi tu cherches à immortaliser un moment de ta vie en particulier ou même à réaliser un portrait de famille qui sortirait un peu de l'ordinaire !
Voilà, j'espère avoir attisé votre curiosité et j'espère que ces très beaux clichés te donneront envie d'aller consulter le blog de Carolina Evanno pour en savoir plus (prestations, tarifs et compagnie!)...
A très vite et encore un grand merci à Carolina !
mardi 12 novembre 2013
Profession : Parents - part III
Inspirée et biologiquement "travaillée" disais-je, au point où, au détour de lectures, comme celles faites chez Bleubird blog, et Papa et Maman brodent l'envie d'un troisième enfant s'est vraiment confirmée, pour devenir une évidence.
Hésitant, je dois bien le reconnaître, mon Sweety était motivé pour tous les exercices d'entrainement à la conception, mais beaucoup moins pour la greffe d'une troisième paire de mains. Les hommes ont souvent peur des grosses interventions chirurgicales... Par ailleurs, le mien n'aime pas trop jouer de la caisse à outils, je devais donc être au point pour l'aspect pratique (d'où la partie de tétris de Papa et Maman brodent qui m'aura largement aidée à convaincre Sweety) et pour la projection logistique ...
Mon ultime argument ayant été de lui dire :"je n'ai qu'une vie, je ne me réaliserai jamais aussi bien qu'en tant que maman, une maman de 3 enfants".
Voilà, nous sommes donc désormais "au complet" comblés même, avec l'arrivée de notre petite Couiny. Sweety a enfin trouvé un prétexte pour changer de voiture et je sens que ce nouveau véhicule le comble ...
Notre Couiny est un vrai cadeau et comme me le disait en com Cécile, "c'est vite une évidence, qu'avant, ce bébé manquait à toute la famille".
Quoiqu'il en soit, je dois aussi dire que pratiquant pas mal l'auto dérision pour pouvoir avancer et dédramatiser quand les choses se gratinent, j'ai souvent trouvé un soutien en tant que maman, en lisant des blogs dans lesquels il y avait cette distance qui aide à relativiser (Au petit Bonheur, les mamans testent, Pensées by Caro , la Bécasse, mon blog de maman et j'en oublie...). Tout n'est pas parfait, mais nous aimons nos enfants et faisons de notre mieux pour les aider à grandir et je n'oublie pas combien est précieux ce cadeau de la vie, ce miracle de la grossesse qui aboutie, je n'oublie pas combien tout ceci tient parfois à un fil et de fait je n'oublie pas "de rendre grâce".
Voilà, j'espère que ce récit vous aura convaincu pour celles qui hésitaient encore, vous aura intéressé pour celles qui ont réussi à me lire jusqu'au bout ... Demain, présentation officielle de Couiny, grâce à mon amie photographe Carolina dont je vous reparle également !
Bonne journée à toutes et à toi mon lecteur avec des poils (JP si tu me reçois... fais pas ton immature).
(Petite déco achetée chez Monoprix)
lundi 11 novembre 2013
Profession : Parents part - II
Je disais donc, deux années s'écoulent et les choses s'organisent, tu commences au
terme de ces deux années d'expérience parentale à te poser la question
d'un "petit deuxième" ? et justement ça tombe bien parce que tu te fais
chier au boulot. C'est donc le bon moment pour te lancer à nouveau dans
l'aventure.
Pour le deuxième, tu es plus "cool" et ton "éponge" va très vite le ressentir. Tu n'attends plus une date précise pour te donner le courage de faire le grand saut, ton seul objectif étant de te lancer dans une nouvelle grossesse à condition d'avoir retrouver "ton poids d'avant".
Une fois enceinte de ce deuxième enfant tu n'exiges plus de ton mari qu'il t'accompagne aux échographies, tu te rendras d'ailleurs seule à la clinique la veille de la césarienne "programmée", oui tu t'es organisée et tu préfères ça à la césarienne en urgence pour souffrance foetale.
Tu as changé de clinique mais gardé ton très bon gynécologue et comme tu as grandi avec l'arrivée de ton premier enfant, tu ne te laisses plus embarquer par le discours des soignants qui parfois sont les heureuses mamans ... d'un chat, tu dis tout de suite quand quelque chose "cloche" : "cet enfant que vous m'apportez ce matin et qui s'appelle Céleste n'est pas le mien, puis je récupérer au plus vite MON ENFANT ??? ".
Tu te remets bien plus vite de ta césarienne, parce que tu es vraiment moins stressée et donc tu as plus de temps pour être heureuse et surtout, surtout, pour ce petit deuxième, tu as décidé de ne plus faire offrande de ta miche, ce sera " biberon exclusif". "L'éponge" à ce stade sent vraiment que tu es devenu UN PARENT et que tes réflexes sont les bons. On aura d'ailleurs plus de mal à te culpabiliser : "vous n'allaitez pas Madame ?
- bah nan comme tu le vois !".
Naturellement, tu as déjà tout l'équipement du parent actuel : jouets en bois, du made in France à tout prix (et tu vas raquer, les statistiques* le disent aussi), nourriture Bio, linge de qualité, matériel de professionnel, nécessaire de toilette, soins WELEDA et / ou MELVITA, bref le must.
Si cet enfant a la bonne idée de naître en Avril, tu profiteras des beaux jours pour lui faire "pique-niquer" son biberon au parc, en bas de chez toi où tu garderas un œil sur les nourrices auxquelles tu ne manqueras pas de donner ton avis quand leur comportement te semblera inapproprié. Cela s'appelle faire profiter aux autres de son expérience, c'est un acte généreux.
Avec l'arrivée de ce deuxième enfant, les traits de ton visage se sont considérablement détendus : il mange bien, dort beaucoup et ne se manifeste que très peu, ce qui facilite son intégration au sein de la famille et surtout le rend aimable au yeux de son aîné. Je dirais même que ce deuxième enfant est un pur plaisir qui donne envie d'un troisième.
La place en crèche est disponible sous 6 mois, c'est parfait, tu as pu cumuler quelques semaines de congés pour rallonger ton congé maternité. Tu organises un peu "la reprise" avec ton mari qui sera celui qui déposera le matin les enfants, tandis que de ton côté tu quitteras le bureau en courant pour aller les récupérer le soir.
Finalement un ou deux, je dirai que cela ne change pas grand chose, jusque là tu as deux mains, une pour chacun et l'équilibre est respecté. Par ailleurs tu as obtenu de ton gentil employeur la possibilité de reprendre en 4/5ème, du coup, lorsque tu reviens au bureau ta motivation est de nouveau au top, tu t'impliques sur tous les fronts et tu es en paix avec toi même ... De la lecture des blogs qui ont jalonné ta vie de primipare, tu es passée à la rédaction de ton propre blog et d'autres commencent sérieusement à t'inspirer dans la vraie vie et puis... ton horloge biologique tourne...
Suite et fin demain ...c'est le moment ou jamais de t'abonner.
* Sources statistiques maison
Pour le deuxième, tu es plus "cool" et ton "éponge" va très vite le ressentir. Tu n'attends plus une date précise pour te donner le courage de faire le grand saut, ton seul objectif étant de te lancer dans une nouvelle grossesse à condition d'avoir retrouver "ton poids d'avant".
Une fois enceinte de ce deuxième enfant tu n'exiges plus de ton mari qu'il t'accompagne aux échographies, tu te rendras d'ailleurs seule à la clinique la veille de la césarienne "programmée", oui tu t'es organisée et tu préfères ça à la césarienne en urgence pour souffrance foetale.
Tu as changé de clinique mais gardé ton très bon gynécologue et comme tu as grandi avec l'arrivée de ton premier enfant, tu ne te laisses plus embarquer par le discours des soignants qui parfois sont les heureuses mamans ... d'un chat, tu dis tout de suite quand quelque chose "cloche" : "cet enfant que vous m'apportez ce matin et qui s'appelle Céleste n'est pas le mien, puis je récupérer au plus vite MON ENFANT ??? ".
Tu te remets bien plus vite de ta césarienne, parce que tu es vraiment moins stressée et donc tu as plus de temps pour être heureuse et surtout, surtout, pour ce petit deuxième, tu as décidé de ne plus faire offrande de ta miche, ce sera " biberon exclusif". "L'éponge" à ce stade sent vraiment que tu es devenu UN PARENT et que tes réflexes sont les bons. On aura d'ailleurs plus de mal à te culpabiliser : "vous n'allaitez pas Madame ?
- bah nan comme tu le vois !".
Naturellement, tu as déjà tout l'équipement du parent actuel : jouets en bois, du made in France à tout prix (et tu vas raquer, les statistiques* le disent aussi), nourriture Bio, linge de qualité, matériel de professionnel, nécessaire de toilette, soins WELEDA et / ou MELVITA, bref le must.
Si cet enfant a la bonne idée de naître en Avril, tu profiteras des beaux jours pour lui faire "pique-niquer" son biberon au parc, en bas de chez toi où tu garderas un œil sur les nourrices auxquelles tu ne manqueras pas de donner ton avis quand leur comportement te semblera inapproprié. Cela s'appelle faire profiter aux autres de son expérience, c'est un acte généreux.
Avec l'arrivée de ce deuxième enfant, les traits de ton visage se sont considérablement détendus : il mange bien, dort beaucoup et ne se manifeste que très peu, ce qui facilite son intégration au sein de la famille et surtout le rend aimable au yeux de son aîné. Je dirais même que ce deuxième enfant est un pur plaisir qui donne envie d'un troisième.
La place en crèche est disponible sous 6 mois, c'est parfait, tu as pu cumuler quelques semaines de congés pour rallonger ton congé maternité. Tu organises un peu "la reprise" avec ton mari qui sera celui qui déposera le matin les enfants, tandis que de ton côté tu quitteras le bureau en courant pour aller les récupérer le soir.
Finalement un ou deux, je dirai que cela ne change pas grand chose, jusque là tu as deux mains, une pour chacun et l'équilibre est respecté. Par ailleurs tu as obtenu de ton gentil employeur la possibilité de reprendre en 4/5ème, du coup, lorsque tu reviens au bureau ta motivation est de nouveau au top, tu t'impliques sur tous les fronts et tu es en paix avec toi même ... De la lecture des blogs qui ont jalonné ta vie de primipare, tu es passée à la rédaction de ton propre blog et d'autres commencent sérieusement à t'inspirer dans la vraie vie et puis... ton horloge biologique tourne...
Suite et fin demain ...c'est le moment ou jamais de t'abonner.
* Sources statistiques maison
dimanche 10 novembre 2013
Profession : Parents - part I
Ce billet pourrait s'adresser aux futurs parents actuellement torturés par mille et une questions du type "on se lance" ou "on va attendre encore un peu", mais il peut aussi intéresser les parents qui hésitent entre "on est bien à quatre et puis je n'ai que deux mains" et "deux enfants, cette moyenne nationale me file le bourdon, je vais me faire greffer une troisième paire de mains".
Docteur Bibiche aujourd'hui peut peut être t'aider à prendre une décision et lever certains doutes ...
Tu vas rire mais, en ce qui me concerne, avant l'arrivée du premier enfant, deux questions me taraudaient : qui va faire la fête à ma place si je choisis d'avoir un enfant maintenant ? (évidemment je n'avais pas 12 ans non plus quand Sweety m'a aidé à me décider, il était raisonnablement temps pour moi de penser à la maternité et puis au bureau je me faisais chier) et comment vais-je expulser cet enfant au terme des neuf mois de gestation ? Là en fait, tu connais la réponse, mais comme toute femme qui se respecte, tu as ta liste de questions à te poser, que même si tu as la réponse, tu vas te la poser quand même, cela s'appelle la flippette ...
En ce qui me concerne et comme pour 80% des femmes de ma génération* qui tombent enceinte pour la première fois, notre premier enfant a vraisemblablement été conçu une nuit de 31 décembre, après quelques verres d'alcool, ce qui évite de réfléchir trop longtemps aux deux précédentes questions ...
A ce stade d'ailleurs, tu sais que l'esprit Saint n'y sera pour rien en ce qui concerne ton cas et tu ne te demandes plus comment sortira cet enfant de ton corps (tu ne te demandes plus rien, en fait).
Une fois la confirmation de grossesse obtenue par le biais d'un test, tu vas naturellement culpabiliser pour ton job et te demander comment tu vas l'annoncer. Patience, tu as minimum 3 mois pour faire ton coming out, au mieux tes seins t’auront trahie avant, tu n'auras du coup plus rien à annoncer, si ce n'est ta nouvelle profondeur de bonnet...
Par la suite tu prendras rendez-vous chez ton gynécologue pour confirmer cette bonne nouvelle et la première question que tu lui poseras, si tu es honnête, concernera ton problème avec l'alcool : "Docteur si vous ne vous trompez pas sur la date de conception de notre futur enfant, je dois vous avouer que le soir du miracle j'étais imbibée comme un baba au rhum (j'exagère pour les besoins du récit...) cela aura t-il un impact sur le divin enfant ?". Généralement il te rassure et te conseille tout simplement de ne plus toucher une goutte d'alcool jusqu'à la naissance.
C'est le début des sacrifices.
Bon bref, les neuf mois s'écoulent (chez moi c'est plutôt 8 mois) et tu as un gynéco extra qui pense à te proposer une radio du bassin et qui t'explique que le tien est trop étroit (ha bon ?) et que du coup on procèdera à une césarienne. C'est parfait, tu sais enfin comment se fera l'expulsion et du même coup tu rayes de la liste de naissance "bouée, crème pour les hémorroïdes, coussin de velours, slips molletonnés".
Sache le, ces dernières pensées égoïstes sont vraiment les dernières car à l'arrivée d'un premier nouveau né, pour toute mère anxieuse qui se respecte, TOUT devient une source d'inquiétude, H/24 : aller faire pipi, prendre une douche, se laver les cheveux (ou pas) et je passe sur ce que certains appellent pudiquement faire "la grosse commission" parce que franchement, tu t'éloignes tellement longtemps de ton petit que tu préfèreras être constipée, au moins un peu au début ...
Ensuite, si tu es maso comme moi, tu choisiras d'allaiter, avec une césarienne c'est un régal. Tu iras louer à la pharmacie un pèse bébé et surtout, ce que Sweety s'est obstiné à appeler pendant 6 mois, une tireuse à lait (Sweety est un amateur de bières) comme ça pendant que ton mari donnera de ton lait au biberon la nuit pour que soi-disant tu puisses dormir un peu pour "récupérer", tu seras quand même obligée de te lever parce que tes seins seront à la limite d'exploser. Si bien qu'une fois debout et soulagée de la mamelle, tu vaqueras à toute occupation indispensable, du type, lancer une lessive, plier du linge, couper des cotons carrés (parce que tu as peur d'être complètement débordée les jours, les mois, les années qui viennent, c'est comme de faire des provisions en temps de guerre), bref tu te recouches épuisée, pour à peine deux heures.
Au stade où tu en es, tu te remémores les bons conseils prodigués lors de ton séjour à la clinique, au titre desquels : le bébé est une éponge, il ressent toutes tes émotions. Pour le coup, des émotions te submergent, le stress, la peur, l'anxiété, le bonheur; mais ça c'est uniquement quand ton éponge a fini par se rendormir, repu pour jusqu'au moins les 45 minutes à venir et là autant dire que tu tombes d'épuisement et du coup tu n'as même pas conscience de ce bonheur.
Bref, les mois vont passer, tu vas rapporter à la pharmacie tout ton attirail et voir en même temps s'il existe une drogue assez forte pour stopper la chute des cheveux, permettre à ton corps de retrouver des proportions honnêtes et surtout récupérer les neurones que tu as laisser une nuit, tu sais plus laquelle et surtout tu sais plus où. Je t'épargne du temps : cette drogue n'existe que dans le show-business, donc prends sur toi.
L'étape suivante est celle pendant laquelle tu cherches un mode de garde pour la prunelle de tes yeux et là ça se complique encore un peu surtout si tu habites près d'un parc pour enfants. De ta fenêtre tu observes sans complaisance les nourrices qui sortent au parc des poussettes, rejoignent leur consœurs ou passent des coups de fil à leur copines. Plus tard tu vas faire quelques courses au Monoprix et tu retrouves les mêmes nourrices, en grappe, à l'entrée du Monoprix : il pleut, elles abritent les poussettes. Bref tu fais un calcul rapide et en conclues qu'une nourrice ça coûte très cher pour simplement sortir ta poussette. Bien que tu aies entrepris toutes les démarches depuis bien des mois pour mettre ton enfant en crèche, ta demande n'aboutira pas avant la rentrée de l'année d'après. Oui en concevant ton enfant une nuit de Saint Sylvestre tu réalises le peu d'ambition professionnelle qui t'animait à ce moment là et tu commences à rédiger un courrier à ton employeur pour lui dire que n'ayant pas trouvé de mode de garde tu vas devoir prolonger ton "congé" maternité...
Le temps passe et au terme d'une absence d'une longue année tu reviens au bureau (le même où, avant d'être enceinte, tu disais à tes collègues que "les gosses c'est pas mon truc") et tu retrouves tes collègues, les mêmes qu'avant mais, mais mais mais tu as pris du RECUL, tu RELATIVISES... ça tombe bien parce que tes collègues vont vite voir que tu as laissé ton cerveau à la maison et que ton fond d'écran a changé. A l'heure pétante tu files chercher ton éponge et pendant la pause déjeuner tu regardes toutes les photos que tu as prises pendant ton congé mat, pour palier au manque que te procure son absence, absence d'autant mieux éprouvée que tu peux enfin profiter d'être revenue au bureau pour te REPOSER (oui parce que pendant tout le temps où tu l'as gardé tu as oublié de faire la sieste en même temps que lui, un principe DE BASE à ne pas négliger).
Ce premier enfant sera un chamboulement complet et si tu veux un conseil, ne pense plus jamais à ta vie d'avant sinon tu feras une dépression.
Si tu veux la suite reviens demain, (paye ton teasing ...)
*Source statistique maison
Docteur Bibiche aujourd'hui peut peut être t'aider à prendre une décision et lever certains doutes ...
Tu vas rire mais, en ce qui me concerne, avant l'arrivée du premier enfant, deux questions me taraudaient : qui va faire la fête à ma place si je choisis d'avoir un enfant maintenant ? (évidemment je n'avais pas 12 ans non plus quand Sweety m'a aidé à me décider, il était raisonnablement temps pour moi de penser à la maternité et puis au bureau je me faisais chier) et comment vais-je expulser cet enfant au terme des neuf mois de gestation ? Là en fait, tu connais la réponse, mais comme toute femme qui se respecte, tu as ta liste de questions à te poser, que même si tu as la réponse, tu vas te la poser quand même, cela s'appelle la flippette ...
En ce qui me concerne et comme pour 80% des femmes de ma génération* qui tombent enceinte pour la première fois, notre premier enfant a vraisemblablement été conçu une nuit de 31 décembre, après quelques verres d'alcool, ce qui évite de réfléchir trop longtemps aux deux précédentes questions ...
A ce stade d'ailleurs, tu sais que l'esprit Saint n'y sera pour rien en ce qui concerne ton cas et tu ne te demandes plus comment sortira cet enfant de ton corps (tu ne te demandes plus rien, en fait).
Une fois la confirmation de grossesse obtenue par le biais d'un test, tu vas naturellement culpabiliser pour ton job et te demander comment tu vas l'annoncer. Patience, tu as minimum 3 mois pour faire ton coming out, au mieux tes seins t’auront trahie avant, tu n'auras du coup plus rien à annoncer, si ce n'est ta nouvelle profondeur de bonnet...
Par la suite tu prendras rendez-vous chez ton gynécologue pour confirmer cette bonne nouvelle et la première question que tu lui poseras, si tu es honnête, concernera ton problème avec l'alcool : "Docteur si vous ne vous trompez pas sur la date de conception de notre futur enfant, je dois vous avouer que le soir du miracle j'étais imbibée comme un baba au rhum (j'exagère pour les besoins du récit...) cela aura t-il un impact sur le divin enfant ?". Généralement il te rassure et te conseille tout simplement de ne plus toucher une goutte d'alcool jusqu'à la naissance.
C'est le début des sacrifices.
Bon bref, les neuf mois s'écoulent (chez moi c'est plutôt 8 mois) et tu as un gynéco extra qui pense à te proposer une radio du bassin et qui t'explique que le tien est trop étroit (ha bon ?) et que du coup on procèdera à une césarienne. C'est parfait, tu sais enfin comment se fera l'expulsion et du même coup tu rayes de la liste de naissance "bouée, crème pour les hémorroïdes, coussin de velours, slips molletonnés".
Sache le, ces dernières pensées égoïstes sont vraiment les dernières car à l'arrivée d'un premier nouveau né, pour toute mère anxieuse qui se respecte, TOUT devient une source d'inquiétude, H/24 : aller faire pipi, prendre une douche, se laver les cheveux (ou pas) et je passe sur ce que certains appellent pudiquement faire "la grosse commission" parce que franchement, tu t'éloignes tellement longtemps de ton petit que tu préfèreras être constipée, au moins un peu au début ...
Ensuite, si tu es maso comme moi, tu choisiras d'allaiter, avec une césarienne c'est un régal. Tu iras louer à la pharmacie un pèse bébé et surtout, ce que Sweety s'est obstiné à appeler pendant 6 mois, une tireuse à lait (Sweety est un amateur de bières) comme ça pendant que ton mari donnera de ton lait au biberon la nuit pour que soi-disant tu puisses dormir un peu pour "récupérer", tu seras quand même obligée de te lever parce que tes seins seront à la limite d'exploser. Si bien qu'une fois debout et soulagée de la mamelle, tu vaqueras à toute occupation indispensable, du type, lancer une lessive, plier du linge, couper des cotons carrés (parce que tu as peur d'être complètement débordée les jours, les mois, les années qui viennent, c'est comme de faire des provisions en temps de guerre), bref tu te recouches épuisée, pour à peine deux heures.
Au stade où tu en es, tu te remémores les bons conseils prodigués lors de ton séjour à la clinique, au titre desquels : le bébé est une éponge, il ressent toutes tes émotions. Pour le coup, des émotions te submergent, le stress, la peur, l'anxiété, le bonheur; mais ça c'est uniquement quand ton éponge a fini par se rendormir, repu pour jusqu'au moins les 45 minutes à venir et là autant dire que tu tombes d'épuisement et du coup tu n'as même pas conscience de ce bonheur.
Bref, les mois vont passer, tu vas rapporter à la pharmacie tout ton attirail et voir en même temps s'il existe une drogue assez forte pour stopper la chute des cheveux, permettre à ton corps de retrouver des proportions honnêtes et surtout récupérer les neurones que tu as laisser une nuit, tu sais plus laquelle et surtout tu sais plus où. Je t'épargne du temps : cette drogue n'existe que dans le show-business, donc prends sur toi.
L'étape suivante est celle pendant laquelle tu cherches un mode de garde pour la prunelle de tes yeux et là ça se complique encore un peu surtout si tu habites près d'un parc pour enfants. De ta fenêtre tu observes sans complaisance les nourrices qui sortent au parc des poussettes, rejoignent leur consœurs ou passent des coups de fil à leur copines. Plus tard tu vas faire quelques courses au Monoprix et tu retrouves les mêmes nourrices, en grappe, à l'entrée du Monoprix : il pleut, elles abritent les poussettes. Bref tu fais un calcul rapide et en conclues qu'une nourrice ça coûte très cher pour simplement sortir ta poussette. Bien que tu aies entrepris toutes les démarches depuis bien des mois pour mettre ton enfant en crèche, ta demande n'aboutira pas avant la rentrée de l'année d'après. Oui en concevant ton enfant une nuit de Saint Sylvestre tu réalises le peu d'ambition professionnelle qui t'animait à ce moment là et tu commences à rédiger un courrier à ton employeur pour lui dire que n'ayant pas trouvé de mode de garde tu vas devoir prolonger ton "congé" maternité...
Le temps passe et au terme d'une absence d'une longue année tu reviens au bureau (le même où, avant d'être enceinte, tu disais à tes collègues que "les gosses c'est pas mon truc") et tu retrouves tes collègues, les mêmes qu'avant mais, mais mais mais tu as pris du RECUL, tu RELATIVISES... ça tombe bien parce que tes collègues vont vite voir que tu as laissé ton cerveau à la maison et que ton fond d'écran a changé. A l'heure pétante tu files chercher ton éponge et pendant la pause déjeuner tu regardes toutes les photos que tu as prises pendant ton congé mat, pour palier au manque que te procure son absence, absence d'autant mieux éprouvée que tu peux enfin profiter d'être revenue au bureau pour te REPOSER (oui parce que pendant tout le temps où tu l'as gardé tu as oublié de faire la sieste en même temps que lui, un principe DE BASE à ne pas négliger).
Ce premier enfant sera un chamboulement complet et si tu veux un conseil, ne pense plus jamais à ta vie d'avant sinon tu feras une dépression.
Si tu veux la suite reviens demain, (paye ton teasing ...)
*Source statistique maison
dimanche 3 novembre 2013
Petites lectures d'automne ...
Pour ne pas lâcher le fil des bonnes résolutions (revenir rédiger un petit billet ici le plus souvent possible) je vous laisse aujourd'hui avec ces quelques récents achats de lecture, certains déjà consommés d'autres en attente d'être dévorés ... Un billet court, aux vertus thérapeutiques.
Tout d'abord ce très bel album de Sempé, pour un grand moment récréatif ...
Deux livres que j'ai hâte de lire : un de Yasmina Khadra dont je vous avais déjà parlé sur ce blog (avec "ce que le jour doit à la nuit") et un autre de Paul Auster ...
Ce très beau livre de Tahar Ben Jelloun qui se trouvait depuis des années dans ma bibliothèque et que j'ai enfin ouvert il y a peu de temps ...
Enfin, ce dernier livre de Jean-Pierre Coffe à grignoter pour en savoir plus sur l'industrie agroalimentaire et au final ce qui pourrait finir dans nos assiettes. J'en profite du même coup pour vous inviter à lire ce très bon billet de Coline sur un sujet approchant ...
Voilà j'espère que cette sélection vous inspirera et surtout n'oubliez pas de me donner votre avis ou d'alimenter cette liste !
Message personnel : bravo à ma petite nièce J, la tenue te va comme un gant ;-)
Tout d'abord ce très bel album de Sempé, pour un grand moment récréatif ...
Deux livres que j'ai hâte de lire : un de Yasmina Khadra dont je vous avais déjà parlé sur ce blog (avec "ce que le jour doit à la nuit") et un autre de Paul Auster ...
Ce très beau livre de Tahar Ben Jelloun qui se trouvait depuis des années dans ma bibliothèque et que j'ai enfin ouvert il y a peu de temps ...
Enfin, ce dernier livre de Jean-Pierre Coffe à grignoter pour en savoir plus sur l'industrie agroalimentaire et au final ce qui pourrait finir dans nos assiettes. J'en profite du même coup pour vous inviter à lire ce très bon billet de Coline sur un sujet approchant ...
Voilà j'espère que cette sélection vous inspirera et surtout n'oubliez pas de me donner votre avis ou d'alimenter cette liste !
Message personnel : bravo à ma petite nièce J, la tenue te va comme un gant ;-)
vendredi 1 novembre 2013
Alors voilà ...
Une étoile est née !
Jeudi 24 octobre à 9h11, je faisais enfin connaissance avec MA Kouini, 3ème du nom, posée comme le plus beau des cadeaux de la vie, sur moi, le temps de quelques baisers et salutations ...
Une petite reine d'automne de 2,560 kg et 45 cm. Mon coeur a bien failli exploser !
Je profite de ce court billet pour remercier chacun et chacune de ceux qui nous ont fait part de leur joie et nous ont félicité durant ces derniers jours (quand je pense qu'au bureau personne ne m'applaudira à mon retour ...).
Je remercie aussi papy et mamie qui nous ont rendu visite hier les mains pleines de victuailles du jardin et de beaux cadeaux, ainsi que tata et tonton S qui les accompagnaient avec autant de belles choses aussi pour notre Kouini. Nous avons bien eu les messages aussi que certains d'entre vous leur avait demandé de nous transmettre, alors à vous aussi MERCI !
Évidemment, nous sommes un peu fatigués, mais HEUREUX, les petits aussi semblent ravis, Chouiny n'arrête pas d'appeler sa soeur "Inès" (absolument pas le prénom que nous avons choisi pour elle) et Fouiny, au terme de presque une semaine, a fini par retenir qu'elle s'appelait Kouini. Quant à moi, il m'arrive encore de l'appeler par le prénom de sa "grande soeur", mais à part ça nous sommes HEUREUX... et je retrouve toujours le chemin de la maison quand je sors faire une course ... mouais...
Voilà, je reviens très vite par ici pour vous en dire plus. En attendant, je vais finir de lire mon Glamour du mois de Novembre parce que grâce à lui je me sens aussi en phase avec la tendance actuelle, celle du Low control "être soi, c'est être naturelle : un jour avec, un jour sans. Ce qui d'ailleurs colle plutôt bien aux tendances beauté de cet automne qui valorisent un sexy tout en nuances, surtout pas bling, ni trop voyant", bah vraiment je crois qu'on y est, avec en plus l’œil torve et le cheveux terne "le visage sculpté par un make up qui ne se voit pas", ( source : Edito Glamour n° 116- Marie Lannelongue rédac chef) bah tu m'étonnes !
Jeudi 24 octobre à 9h11, je faisais enfin connaissance avec MA Kouini, 3ème du nom, posée comme le plus beau des cadeaux de la vie, sur moi, le temps de quelques baisers et salutations ...
Une petite reine d'automne de 2,560 kg et 45 cm. Mon coeur a bien failli exploser !
Je profite de ce court billet pour remercier chacun et chacune de ceux qui nous ont fait part de leur joie et nous ont félicité durant ces derniers jours (quand je pense qu'au bureau personne ne m'applaudira à mon retour ...).
Je remercie aussi papy et mamie qui nous ont rendu visite hier les mains pleines de victuailles du jardin et de beaux cadeaux, ainsi que tata et tonton S qui les accompagnaient avec autant de belles choses aussi pour notre Kouini. Nous avons bien eu les messages aussi que certains d'entre vous leur avait demandé de nous transmettre, alors à vous aussi MERCI !
Évidemment, nous sommes un peu fatigués, mais HEUREUX, les petits aussi semblent ravis, Chouiny n'arrête pas d'appeler sa soeur "Inès" (absolument pas le prénom que nous avons choisi pour elle) et Fouiny, au terme de presque une semaine, a fini par retenir qu'elle s'appelait Kouini. Quant à moi, il m'arrive encore de l'appeler par le prénom de sa "grande soeur", mais à part ça nous sommes HEUREUX... et je retrouve toujours le chemin de la maison quand je sors faire une course ... mouais...
Voilà, je reviens très vite par ici pour vous en dire plus. En attendant, je vais finir de lire mon Glamour du mois de Novembre parce que grâce à lui je me sens aussi en phase avec la tendance actuelle, celle du Low control "être soi, c'est être naturelle : un jour avec, un jour sans. Ce qui d'ailleurs colle plutôt bien aux tendances beauté de cet automne qui valorisent un sexy tout en nuances, surtout pas bling, ni trop voyant", bah vraiment je crois qu'on y est, avec en plus l’œil torve et le cheveux terne "le visage sculpté par un make up qui ne se voit pas", ( source : Edito Glamour n° 116- Marie Lannelongue rédac chef) bah tu m'étonnes !
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